Aller au contenu
Découvrez nos offres d'abonnements box

la gazette des parents

Poussette, lit parapluie, baby talk et autres instruments in(sur)montables !

By Serial MotherUn jour j’ai eu des enfants.J’ai mis environ 1 an à reconnaitre les pleurs de bébé (ces fameux 7 différents pleurs que toute maman est censée reconnaitre dès le premier jour de la vie de son enfant), j’ai mis 4 ans à les faire dormir plus de 4 heures d’affilées, j’ai mis 35 mois à savoir faire un biberon sans grumeaux et j’ai mis bien plus longtemps encore à me familiariser avec le matériel qui va avec le bébé.Oui car quand tu achètes  as un bébé, tu achètes le matos qui va avec. Le lit parapluie, le baby talk, la poussette, le sac à langer, la chaise haute, la machine à faire des purées, le thermomètre du futur, le mouche bébé, le sac à couches, le tapis d’éveil, le trotteur etc…Moi j’avais commencé ma galère dans le magasin de puériculture alors que je couvais encore.Moi (accompagnée du futur papa) : « Bonjour je voudrais acheter une poussette, je vais avoir un bébé »Elle (la vendeuse) : « Poussette cane, poussette dos à la rue, poussette pliable, landau, poussette évolutive ? »Moi (l’air déjà lost in translation) « Bah ché pas moi. Une poussette pour mettre un bébé quoi ».Là j’ai senti que la vendeuse prenait son air de Madame Je Sais Tout et avec les hormones, j’ai eu envie de l’assassiner façon Dexter épisode 45 saison 87.Avec un petit air pincé, elle nous a demandé notre budget, nous a sélectionné 4 poussettes et nous a suggéré de les tester.Et là le drame des parents débiles a démarré pour nous. Impossible de les déplier. On s’énerve, on râle, on rappelle la vendeuse. Et hop d’un coup de pouce avec son air narquois, elle nous déplie les 4 !C’est à ce moment là que j’ai su.J’ai su que comme je n’avais pas fait Maths Sup-Maths Spé + Bac option poussette/lit parapluie, j’allais galérer pendant quelques années.Nous avons finalement jeté notre dévolu sur une poussette de prix moyen, de poids moyen, de taille moyenne, de facilité de dépliage niveau moyen.Je ne te cache pas qu’une fois l’enfant né, j’ai mis 2 mois à réussir à déplier l’objet du crime et que bébé fut baladé en porte bébé. (véridique) La poussette était mon ennemie, je la craignais.Cette saligote n’était pas seule, elle avait des amis. Je mis donc 16 mois à comprendre le mécanisme de la machine à faire cuire les légumes à la vapeur et à mixer des purées, 27 mois à placer la chaise haute à la hauteur désirée,  7 mois à faire marcher le baby talk, 31 mois  à saisir que dans le mouche bébé il fallait que j’aspire (et que je vomisse au passage), 5 mois pour jeter la couche qui pue dans la poubelle qui sent bon d’un coup de pied et 23 mois à déplier et replier le lit parapluie.Au début, je l’avoue, j’ignorais jusqu’à l’existence du mot « lit parapluie ». Pour moi dans la vie il y avait d’un côté le lit, lieu pour végéter, et de l’autre le parapluie, sorte d’abribus mais sans bus.Un jour nous sommes partis en week-end et pour coucher junior, ma sœur m’a dit « n’oublie pas ton lit parapluie » ! Renseignements pris, je fis connaissance avec un objet soit disant dépliable en 2 gestes, soit disant léger, soit disant pratique. Que nenni ! Chéri et moi n’avons jamais réussi à le déplier correctement. Il y avait toujours un côté rebelle qui ne voulait pas tenir droit. Alors on s’est dit, je me souviens « c’est pas grave on met l’enfant dedans quand même. » C’était sans compter sur l’écroulement des 4 côtés durant la nuit. L’enfant fut saucissonné.Pour le replier la galère fut semblable, un côté ne voulait pas rentrer dans le rang et malgré la relecture du mode d’emploi en chinois (oui parce que bébé avait mangé la version française) et de la bonne volonté, nous repartîmes avec un lit pas replié dans notre coffre.Le genre de trucs qui brise un couple.Récemment je racontais à une amie mes galères et elle me dit qu’elle n’avait jamais connu ça car elle avait un super lit parapluie. « Ouais genre » lui dis-je.Elle me présenta son Magic Bed, elle me certifia qu’il était auto-dépliable, léger (3,4 kilos) et facile et toussa. Je fis le test qui prit donc 3 secondes et je me mis à pleurer. Pourquoi personne ne l’avait inventé il  y a 7 ans quand je mis bas pour la première fois (et que donc cela me dégoûta du concept du lit parapluie pour le deuxième enfant) ?Voilà si un jour j’ai un troisième enfant, je VEUX ce Magic Bed. A bon entendeur.Ps : je t’ai pas encore parlé de ma galère à installer le siège auto dans la voiture puis à installer l’enfant dedans mais promis une autre fois.Retrouvez Serial Mother sur Facebook 

Apprendre encore plus

Noël depuis que je suis mère (ou comment je vois Noël avec Bébé autrement)

Jusqu’à récemment, je n’avais pas d’enfants.Du coup pleins d’évènements m’apparaissaient différemment. Plus simplement je dirais.Par exemple lorsque c’était la St Valentin, avec chouchou on prenait un bain de champagne, on inondait le lit de pétales de roses, on faisait l’amour en haut de la Tour Eiffel en criant si fort que même les passants du Champs de Mars nous disaient « Oh tu veux pas la fermer ? » (bon ok j’exagère un peu…rien qu’un peu).Puis on a eu des enfants et la St Valentin est devenue moins fofolle. On a été vite tellement nazes avec l’arrivée des enfants, que le 14 février on s’est mis à regarder Columbo en pantoufles devant des pizzas. Et souvent on s’endort avant la fin (ce qui, je te l’accorde, n’est pas bien grave puisque la force de Columbo c’est que tu connais le meurtrier dès le début).Noël avec bébé c’est comme à la St Valentin puissance 10.000.Avant, Noël c’était MA fête. Je stockais des idées de cadeaux dans mon téléphone au fur et à mesure de l’année en vue du 24 décembre, j’errais dans les Grands Magasins afin de trouver la petite robe glitter idéale pour accueillir le Père Noël, j’allais me faire faire un massage le jour même pour être en forme, je faisais un régime la veille pour pouvoir avaler la bûche entière le lendemain sans scrupules, j’ouvrais mes paquets comme une gamine avec ravissement, je faisais des câlins à mes parents pour les remercier, j’essayais tout le soir même, je buvais un verre ou douze, je me couchais tard, j’humais le sapin et j’étais bien. C’était MON Noël.Mais voilà, les enfants sont nés et m’ont volé mon Noël.D’abord la mamie (ma mère) m’a demandé dès le premier Noël avec bébé, ce qu’il voulait. J’ai répondu « Ipod/maquillage/Parfum/Places de théâtre/Louboutin/pochette du soir ». Elle m’a dit que j’avais mal entendu, que ce n’était ma wish list qui l’intéressait mais celle de l’héritier.Je compris alors que Noël avec bébé ne serait plus jamais ma fête, qu’il fallait que je fasse le deuil de mes beaux cadeaux à moi, que j’allais devoir me taper le mythe du Père Noël en souriant, que mon salaire annuel allait passer dans les surprises des enfants, que tout ce qui comptait désormais c’était la petite robe à smock qu’allait revêtir ma fille le soir du 24, que moi je pouvais enfiler un jean et un sweat sans que personne ne le remarque, que j’allais devoir arrêter de bouffer de la bûche car il fallait en laisser aux enfants et surtout qu’il fallait que je perde mes kilos de grossesse, que l’attention serait portée sur eux et que je n’aurais donc comme cadeaux uniquement des objets me renvoyant à mon rôle de mère : une machine à faire des purées « oh c’est trop génial, ça manquait à ma vie », un baby talk du futur « oh c’est canon, comme ça je n’oublierai jamais que j’ai des gosses », un album photo pour ranger les petites bouilles de mes kids « oh c’est top et puis tu sais j’ai carrément le temps de faire des albums photos ! ».A eux les box magiques de chez Tiniloo, la playstation mégatop, la poupée trop jolie, la dinette en bois vintage, le petit cheval à bascule trop chou, l’appareil photo 9 en 1, le parfum pour mini-adulte. A moi le néant.Mais cette année, je ne me ferai pas avoir. Je suis prête à affronter Noël comme avant. C’est aussi MON Noël enfin quoi !Retrouvez Serial Mother sur Facebook Découvrez-vite les box Bébé de Tiniloo, un colis surprise adapté à l’âge de votre enfant chaque mois dans votre boîte aux lettres !

Apprendre encore plus

La meilleure idée après le Père-Noël

By Serial MotherMoi perso je crois toujours au Père Noël. On a beau me dire que je suis une idiote, qu’à mon âge je devrais grandir, que personne n’a jamais prouvé l’existence du Père Noël, que c’est du marketing et que je suis un mauvais exemple pour mes propres enfants. N’empêche, j’y crois.Parce que moi j’ai mené une enquête, je sais qui seconde le Père Noël lorsque celui-ci est en panne de cadeaux. J’ai été sur le terrain moi Madame. (mon côté Bernard de la Villardière)Je sais que derrière lui, ce ne sont pas des lutins qui bossent dur toute l’année (suis pas totalement naïve tu vois) mais bien les gentilles tinilettes.Qui sont-elles ? D’où viennent-elles ? Que mangent-elles ? Comment on-elles rencontré le Père Noël ? Depuis quand sont-elles embauchées par lui ? Je vais tout te dire.Longtemps dans l’ombre du Père Noël qu’elles ont connu en 1865 au salon du jouet de Laponie, les deux tinilettes ont passé un pacte secret avec l’homme barbu : elles seraient ses souffleuses d’idées, il serait sur le devant de la scène. Elles disposeraient les paquets au pied des sapins, il serait la star de Noël.Jusqu’en 2012 le pacte du silence fut respecté. Mais le mois dernier le Père Noël, en grand seigneur, décida de mettre en lumière Marie et Caroline, ses tinilettes de choc.Parce qu’après tout, les bonnes idées c’est elles ! Et cette année, les tinilettes 2.0 proposent leurs idées cadeaux dans des coffrets Petit Papa Noël à commander sur leur site Tiniloo. Ce coffret rempli de surprises dignes de celles que le Père Noël himself aurait voulu imaginer, est tout simplement magique.Depuis que le Père Noël (avec qui j’ai tout de même passé du thttp://www.tiniloo.com/blog/coffret/petit-papa-noel/emps pour cette enquête. L’immersion totale, c’est mon truc) a mis dans la lumière ces deux femmes de l’ombre, je suis joie.J’ai eu la chance de boire le thé avec elles et elles m’ont soufflé que le coffret de Noël 2012 serait digne de tout ce qu’elles proposent aux enfants depuis 1865 : du rêve, de la joie, de l’émotion.Il suffit de commander la boite sur leur site et même les parents seront surpris et épatés comme des gamins. En ouvrant la boite ils découvriront une méga grosse surprise et plein de petites.Le père Noël existe, il a deux fées à ses côtés et maintenant que ce trio est on-line, on aurait tort de ne pas leur succomber.PS : La mère noël, très jalouse, n’est au courant  de rien. Elle a bien eu des soupçons en 2011 en découvrant un document secret appelé « Tiniloo » mais son mari a maintenu sa version des choses et continue de lui faire croire qu’il embauche des lutins.Retrouvez Serial Mother sur Facebook 

Apprendre encore plus

Le bain de maman versus le bain de bébé

By Serial MotherAvant lorsque tu n’avais pas d’enfant, le mot BAIN t’évoquait plein de choses : détente, repos, cocooning, sommeil, lecture de magazines, masques de beauté, huiles essentielles.Bref avant le bain c’était LE moment que tu savourais.Depuis que tu as un enfant, tout a changé.Le bain sert à laver junior. Et à te rendre hystérique. Un point c’est tout.Lorsqu’il était tout petit et qu’il ne tenait pas assis, la bain était synonyme de panique « comment je vais lui mettre le savon ? Avant ou après l’avoir mouillé ? HELP. Nan parce qu’à l’hôpital la sage femme a dit de le savonner avant mais bon moi je vois pas comment ça peut mousser s’il n’est pas mouillé ? Et puis après comment je peux le laver tout en lui tenant la tête ? Sa tête si petite et si fragile. HELP. Et puis comment attraper la serviette sans lâcher l’enfant et le noyer ? HELP. Et s’il fait pipi juste en sortant du bain, voire pire, la grosse commission ? HELP. »Dès que l’enfant grandit un peu, tu l’enfonces dans son siège de bain, tu le regardes gigoter, tu le savonnes, tu lui montres un canard, il l’attrape, tu fais « coin-coin », il rit (se fout-il de ta gueule ? Certainement), tu le sors, tu l’emballes comme un gros paquet. Tu le sèches en mode « séchage de chemise fragile » et hop le tour est joué.Dès qu’il se tient assis, la baignoire devient son terrain de jeu préféré. Un peu de mousse par ci, un peu de splash pas là (surtout sur le sol) et plein de jeux géniaux. L’enfant aime prendre le bain mais attention, pour lui le bain ne signifie pas « détente » comme de ton point de vue de mère crevée.Lui il prend un peu de savon, il lave son bateau en plastique avec ton après shampoing pour cheveux ultra secs de mère naze shoppé 346 euros sur un site australien , il fait « coin-coin » en t’imitant d’un œil moqueur, il prend son gant de toilette et le mange, il se met debout puis soudainement il s’assoit et ruine tes murs tout juste repeints, il chante très (trop) fort, il fait une bataille navale entre dinosaures et lions, il trouve des boules pour le bain que tu as acheté pour TON bain et les éclate avec ses petits doigts, il fait caca dans le bain et trouve ça super drôle, il allume la douche et arrose le plafond ce qui risque de provoquer la colère de Mme Michu ta voisine du dessus, il fabrique de la « soupe » avec de l’eau sale et toutes sortes de savons trouvés au bord de la baignoire, il te demande de goûter sa soupe, il se savonne en s’en mettant plein les yeux et hurle, il déteste se laver les cheveux, il essaie le shampoing anti-chute de cheveux de son père et se ruine les pupilles, il décide d’aller aux toilettes 2 minutes après être entré dans la baignoire, il te sermonne car le bain c’est pas écolo, il rallume le robinet et met de l’eau gelée, il rit, il hurle qu’il veut sortir et il dit que dans le bain sa peau est devenue vieille comme la tienne.Bref il ne viendrait JAMAIS à l’idée d’un enfant de prendre un magazine et de ne rien faire dans son bain.Une fois l’enfant sorti et enpyjamé (nouveau mot créé par moi-même, je fais ce que je veux d’abord), tu es tellement rincée par l’épisode de son bain que tu ne veux même pas envisager d’en prendre un.Une tisane et au lit va !Retrouvez Serial Mother sur Facebook 

Apprendre encore plus

Mes envies (bizarres mais pas que) de femme enceinte

By Serial MotherQuand j’étais taponnée (taponnée = enceinte en québécois. Bah oui quoi j’ai le droit de parler québécois si je veux. Et puis j’adore Roch Voisine, Céline Dion et Isabelle Boulay. C’est cliché dis tu ? Rhoooo comme tu es étroite d’esprit ! Vive le Québec libre.) j’avais des envieS bizarres.J’avais envie de fruit de la passion et de groseilles ce qui en plein hiver s’avère compliqué, j’avais envie de Vladimir Poutine ce qui en plein hiver (et aussi en plein été et aussi de façon générale) s’avère compliqué, j’avais envie de nager dans une piscine de Nutella, j’avais envie de dormir 17 heures non stop, j’avais envie de dire merde à quiconque me touchait le ventre (voire de foutre mon poing bien profond dans leur gueule), j’avais envie de pleurer devant des films super tristes, j’avais envie de régression et de fils au coca, j’avais envie qu’on me sorte l’enfant du ventre (au 8ème mois hein), j’avais envie d’être copine avec toutes les femmes enceintes, j’avais envie de tuer mon mari, j’avais envie de caresser mon ventre sans cesse, j’avais envie de crème pour me masser les potentielles vergetures, j’avais envie d’un livre rempli de prénoms auxquels j’aurais peut-être pas pensé, j’avais envie d’acheter plein de fringues à mon futur enfant et de préparer sa chambre, j’avais envie de faire les carreaux de ma maison tout le temps (et même ceux de la voisine), j’avais envie de déplacer les meubles pour voir, j’avais envie d’un bandeau pou entourer et soutenir mon bidon au cas où il s’échapperait, j’avais envie qu’une vraie bonne amie me dise toute la vérité sur les dessous de la vie de maman (genre ça va être chaaaaaaud et crevant), j’avais envie de sushis et de fromages pas pasteurisés, j’avais envie de vomir, j’avais envie de me taper 13 cookies d’un coup dans la bouche, j’avais envie de fantasmer sur la femme de Vladimir Poutine (tu la connais pas ? bah tu rates), j’avais envie de vider le frigo à 5h22 du matin, j’avais envie de dire ses 4 vérités à Mme Cornu (la voisine insupportable), j’avais envie de me faire des masques pour visage de femme enceinte, j’avais envie de fraises (véridique), j’avais envie de me faire masser les pieds car je n’arrivais plus à les atteindre (ni même à les voir), j’avais envie de  tenir un carnet de bord de grossesse, j’avais envie de faire des albums photos que je n’avais jamais le temps de faire avant, j’avais envie de me faire un ciné à 14h30, j’avais envie d’embrasser ma prof de yoga, j’avais envie de rire aux blagues de Bigard (ouch), j’avais envie de manger un bœuf en entier (et même toute la famille dudit bœuf), j’avais envie de mettre des crèmes hydratantes pour cheveux secs de femme taponnée, j’avais envie de tout, de rien et j’avais envie de surprises !J’avais envie d’ouvrir ma boite à lettres et de découvrir un paquet rempli de cadeaux pour moi, rien que pour MOI (pas pour l’autre là qui squattait mon ventre). J’avais envie d’un gros colis avec des crèmes, des doudous, des livres : tout ça pour les futures mamans.J’avais envie que quelqu’un invente ça. Mais comme ça n’existait pas, bah je m’auto-faisais des surprises ce qui, tu en conviens, pousse le dédoublement de personnalité à son comble. Une fois je me suis acheté une huile pour le bain pour femme enceinte. Je me la suis envoyée à moi-même et quand je l’ai reçue par la poste emballée dans un joli papier rose, j’ai osé à voix haute le dialogue avec moi-même « Oh une surprise ! Mais qui ça peut bien être ? Et qu’y a-t-il dedans ? » (je crois, oui, que je devenais folle)Puis j’ai enfanté et là qu’apprends-je, 4 ans après le démoulage de bébé N°2 ? Que Tiniloo a lancé des boites pour les futures mamans ! Chaque trimestre, la future maman reçoit une box remplie de méga surprises chic et choc comme des crèmes, des huiles, des livres avec des idées de prénoms, des capsules anti-stress  et j’en passe.Me reste plus qu’à faire un autre enfant pour que mon chéri m’abonne à ces boites pour futures mamans. Un must pour moi. Je m’en vais de ce clic abonner ma meilleure amie qu’est enceinte et aussi accrocher la photo de Poutine au- dessus de mon lit. Ca me motive, que veux-tu ? Chacun ses gouts, nan méo !Retrouvez Serial Mother sur Facebook 

Apprendre encore plus

Mes nuits ne sont pas plus belles que mes jours

By Serial MotherCe matin ma collègue qui n’a pas encore d’enfant : « Rhaaaan, j’ai bien dormi cette nuit. Je me suis fait une tisane , je me suis couchée à 22H30 et j’ai dormi comme un bébé jusqu’à 8h ce matin. Et toi ? »Je l’ai regardée d’un air désespéré, un peu comme Dora quand elle ne trouve pas son chemin sur sa carte, et j’ai juste souri sans rien dire  à part que les bébés ça dort pas la nuit et que donc son expression elle vaut rien.J’avais envie de lui dire « Moi tu vois, j’ai passé une nuit de merde. Oh je sais ce que tu vas me dire : que je me plains toute le temps alors que je devrais pas parce qu’avoir des mioches c’est top. Oui mais toi tu en as pas et moi je te dis pas ce que sont devenues mes nuits. C’est simple j’ai couché N°1 à 20H mais vois-tu, il avait décidé de ne pas dormir. Après avoir escaladé son lit à barreaux façon serialkiller qui s’échappe d’Alcatraz, il a pris son biberon et a déversé de l’eau partout sur le parquet en bois que je venais de faire poncer pour une tonne. Ensuite, il a hurlé « pas dodo-pas dodo-pas dodo-dodo pas dodo » comme Rain Man pendant 43 minutes. Pendant ce temps là mon mari négociait le coucher avec N°2 qui a donc terminé dans notre lit conjugal au bout de 30 secondes. Une fois le sol épongé, N°1 a daigné se remettre au lit moyennant un biberon de lait tiède. Oui je sais que le lait c’est moche le soir au coucher mais on fait ce qu’on peut.  A 22H12 en plein mattage de la série « Homeland », nous fûmes interrompus par des cris aigus. Je bondis, j’allais voir et en fait N°2 avait fait un cauchemar, un truc bien bizarre avec des loups et des champignons. Lasse et fatiguée je me mis au lit mais ô surprise, j’avais N°2 en position transversale dans mon axe. Je me suis roulée en boule, mon mec aussi car nous ne voulions troubler le sommeil profond de l’enfant. Mais le saligaud a aussi fait un cauchemar et après m’avoir balancé ses pieds dans la tronche il a crié « Mamaaaaaaaan, un ogre ». Cette phrase a réveillé N°1, mon mari, le voisin, le chien et même le hamster.A 5H34 j’ai juste abandonné l’idée de me recoucher et ça tombait plutôt bien car N°1 avait fait pipi au lit. Voilà ça c’est ma nuit. »Ma co-bureau qui avait lu dans mes pensées me dit « tu sais j’ai une solution pour toi. Ma belle sœur, celle qui a 5 enfants, ne jure que par cette marque : Cloud BGenre elle avait une solution la collègue….pfiooooooou.Le surlendemain elle m’apporta un doudou totalement magique de chez Cloud B : le sleep sheep (mouton qui dort), un doudou avec 4 pistes audios dont une est le son des battements du cœur. Le soir même je mettais le mouton à côté des deux kids et par un coup de baguette magique, ils furent rassurés et endormis en 4 minutes ! Et ne se levèrent pas de la nuit !Intriguée par ce doudou j’allais faire un tour sur le site et là…Bonheur ! Une « tortue tranquille » qui projette des vagues au plafond et joue une musique, une « tortue éclairante » qui diffuse de la lumière et des étoiles sur les murs ou encore des doudous sympas dans lesquels on peut mettre une petite bouillotte !Je ne sais pas comment j’ai fait pour vivre avant mais ce qui est sûr c’est que maintenant mes nuits vont être plus belles que mes jours. Merci la collègue, merci Cloud B !Retrouvez Serial Mother sur Facebook 

Apprendre encore plus

J'ai un rituel du soir digne d'un programme électoral !

By Serial MotherAvant (d’avoir des enfants), je rentrais du bureau, j’allumais la télé, je prenais une douche, j’appelais ma mère ou ma meilleure amie pour débriefer de la journée, je vérifiais si Brad Pitt ne m’avait pas demandé comme amie sur Facebook, je prenais un bain chaud en lisant un magazine débile, je me marrais en écoutant Les Guignols, je me disais que j’allais me faire à manger et puis en fait non, que j’allais commander des sushis, j’ouvrais mon courrier puis le cachais vite fait pour éviter de payer des factures, je changeais une ampoule et je me prenais du coup pour une héroïne, je me faisais un masque aux concombres, je badigeonnais mon corps de crème nourrissante aux perles de miel, je vérifiais sur mon Twitter si George Clooney ne me followait pas, je m’achetais plein de fringues en ligne sur TopShop, je me faisais un thé vert, je décidais de changer d’avis et de commander une pizza bien grasse, je me disais qu’avec mon mec on pourrait pourquoi pas aller au cinéma à la séance de 22h ou inviter des potes pour manger les restes du barbecue de la veille, je me démaquillais ou pas, je me mettais en nuisette ou en jogging, je me couchais en lisant et je dormais d’un trait jusqu’au lendemain.Aujourd’hui tout à changé. Qu’on ne se méprenne pas : être mère c’est vraiment la plus belle chose du monde entier, c’est sûr et certain. MAIS.Mais maintenant quand je rentre du bureau, je vérifie avec la nounou que la journée s’est bien passée, je check les devoirs du grand, j’enlève les poux de mini, je lave et je coupe les ongles, je change la couche pleine, j’allume la télé et je me tape Tchoupi ou Dora, je renonce aux Grand Journal, je renonce à un bain, je ne peux pas parler au téléphone avec ma meilleure copine plus de 10 minutes car je suis interrompue par des « maman caca », je me gratte la tête en me demandant ce que je vais bien pouvoir faire à diner à mes enfants, j’ouvre le frigo et je le referme, j’essaie d’aller sur Facebook mais je ne suis fan que de groupes de mamans surbookées, je fais faire les devoirs fissa, je me demande si ce week-end on ira plutôt à la piscine à 8h15 ou faire du vélo, je ne peux plus aller au ciné à la séance de 20h car c’est l’heure du coucher ni à celle de 22h car je sais que je vais m'endormir, parfois je n'ai pas le temps de pendre une douche, je raconte 14 fois l’histoire de la petite taupe à qui on avait fait caca sur la tête, je chante des chansons de Chantal Goya pour endormir les petiots, je surfe sur des sites de couches online, je finis les pâtes-lettres de mes mômes et je prends 3 kilos par mois, je me mets du Mytosil sur le corps pour nourrir mes vergetures de grossesse, je me couche presque en même temps que les moutons, je regarde sur Twitter si Angelina Jolie ne s’est pas encore fait tatouer le nom de son gosse sur le sein alors que moi je n’en n’ai plus la faute à l’allaitement, je range la chambre des kids dans le noir, je prépare les affaires du lendemain en ayant pris soin de regarder la météo, je fais une tentative de lecture mais mes paupières pleine de Mytosil se ferment, j’essaie une nuisette sexy pour le mâle mais oups je n’ai pas eu le temps de m’épiler, je fais des projets fous de vacances à Capri pour l’été mais bon en fait non, je mets en marche mon Ipod pour me détendre et hop je tombe sur « L’âne Trotro, l’âne Trotro, trop trop rigolo », je me couche avec des bonnes chaussettes de ski en plein été, je sais que je vais me réveiller au minimum 34 fois dans la nuit pour amener junior aux toilettes ou donner de l’eau à mini-pouce.Bref avant mes soirées étaient…comment dire…légères !Mais (attention séquence émotion) non rien de rien, non je ne regrrrrrrrette rien !Suivez Serial Mother sur Facebook !

Apprendre encore plus

Les 10 commandements du soir - By Serial Mother

Avant (avant : adjectif temporel qui signifie dans le cas présent « quand tu n’étais pas mère ». Synonyme : « quand c’était plus facile ».) quand tu n’avais pas d’enfant, (enfant : petit être d’environ 50 cm au départ qui prend en moyenne 1m au bout de 10 ans et qui sème l’amour et le stress) ta vie était plus simple.Tu te levais, tu allais bosser, tu rentrais le soir, éventuellement tu buvais un verre (ou cinq) de vin rouge, tu allais te coucher et hop tu dormais.Mais ça c’était avant.Depuis que tu as mis bas, tes journées sont bousculées par un rythme et des priorités très différentes. Et tes soirées…n’en parlons point.En fait si parlons-en : tu rentres du boulot avec des cernes bleues nuit, tu concoctes des légumes bios à la vapeur des petits pots et des surgelés à toute la famille, tu mets tes enfants au lit, ils s’endorment en 2 minutes, et tu cries « Yihhhhhha, à moi la série remplie de médecins trop beaux-gosses ».Sauf que dans la vraie vie les médecins de l’hôpital sont plutôt des sosies de Sim (paix à son âme) et surtout tes enfants ne dorment pas en 2mn chrono. T’as cru que t’étais dans « Ricky ou la belle vie » ou quoi ?Pour espérer qu’un jour tes enfants ferment leurs paupières avant les tiennes, suis les 10 commandements suivants :I/ Des histoires avec des loups et des ogres mangeurs d’enfants tu ne raconteras pas après 15h.II/ Le doudou magique anti-cauchemars tu achèteras en double, voire en triple (au cas où)III/ L’imagination de ton enfant tu feras travailler pour bien l’achever avant le dodo. Par exemple : donne lui 4 mots en vrac et demande lui de t’inventer une histoire.IV/ Le biberon de lait déjà tout prêt à réchauffer en cas de réveil de bébé, tu laisseras au frigo.V/ Les jouets à piles qui parlent tout seuls, tu éteindras (parce que la poupée qui hurle à minuit et qui réveille ton enfant en criant « maman change ma couche-maman change ma couche-maman change ma couche », c’est pas cool)VI/ Si une fois l’enfant endormi tu sors fêter l’anniversaire de ta meilleure copine, évite de te tromper de chambre à ton retour et de t’allonger sur ton enfant.VII/ Pense bien à ne pas te tromper de bouton sur le baby talk. C’est toi qui dois entendre ton bébé en cas de pleurs. Pas le contraire.VIII/ Souviens-toi de toujours mettre une allaise sous le drap de ton gnome qui est en mode « je deviens propre mais j’ai des accidents la nuit ».IX/ Vérifie toujours que ton enfant ne s’est pas relevé discrètement et n’est pas juste derrière toi à mâter au dessus de ton épaule le film interdit au moins de 18 ans que tu regarde sur ta télé. Petite ruse : apprends à tourner ta tête à 360°.X/ 30 minutes après avoir couché ton mini-toi (qui est donc en train de dormir normalement) va le voir, remets la couverture bien en place sur son petit corps, renifle-le, dis lui que tu l’aimes et fais lui un baiser. Ca l’apaisera et toi aussi.Suivez Serial Mother sur Facebook ! 

Apprendre encore plus

Vaccin or not vaccin ?

Vendredi matin rendez-vous chez le pédiatre pour Tiniloute n°2, 10 mois et 2 dents.Dans mon sac, en plus d'une paire de chaussettes 6-12 mois, une tétine et un collier Cendrillon, se trouvent 2 boîtes dont les noms semblent tout droit sortis du dernier Astérix. 2 horribles piqûres destinées à Tiniloute, celle-là même qui me regarde béatement dans son siège auto en me gazouillant amoureusement "Môman !"... Si tu savais ce qui t'attends ma chérie, tu me le dirais sur un autre ton ce "Môman"...Nous voilà donc dans le cabinet  du pédiatre, après un passage obligé dans la salle d'attente par la lecture de "Point de vue et images du monde" (vous saviez qu'en Norvège les parents ne donnent un prénom au bébé qu'après quelques semaines quand ils ont fait connaissance avec lui ???? Ca y est, je vous entends déjà réfléchir au nom que Terminator aurait eu dans ce cas là !)...Bref, je m'égare, revenons au pédiatre, ma Tiniloute toute souriante avec ses 2 dents et ces 2 instruments de torture que le docteur prépare sous mes yeux effarés !5 minutes plus tard, après avoir essuyé le 1er vrai chagrin de Tiniloute et m'être allégée de 90 € (Gloups !), je culpabilise...Oui, je sais, c'est bien les vaccins. C'est un acte civique et tout et tout... Sauf que je ne peux pas m'empêcher de me dire : et si il y avait un problème, vous savez le cas très rare que vous lisez dans les effets secondaires de la notice (que je vous conseille de ne pas lire d'ailleurs, sinon vous partez en courant de chez le médecin avec le petit sous le bras après 10 lignes de lecture !). Et puis, même que peut-être ce sera un cas très grave qui ne serait jamais arrivé encore... Bref je m'emballe comme d'hab !Résultats des vaccins après 24h : une petite fièvre de 38,3 C°, une grosse boule rouge sur le bras (c'est pas normal non ça ? Ok je m'emballe encore !) et un nouveau RDV dans 2 mois, on prend les mêmes et on recommence...Et vous, vaccins or not vaccins, alors ?

Apprendre encore plus